Les épreuves élémentaires
Yann Pocreau
Olivier Hernandez, Gaëlle Morel, Jean-Michel Quirion et Yann Pocreau
ISBN 978-2-923612-91-1
2024
Bilingue français/anglais
21,6 x 27,3 cm,180 pages
45 $
En vente sur place
ISBN 978-2-923612-91-1
2024
Bilingue français/anglais
21,6 x 27,3 cm,180 pages
45 $
En vente sur place
Cette publication regroupe des œuvres sur la lumière, du moins sur l’essence de celle-ci d’un point de vue philosophique et esthétique. L’artiste a pensé le livre comme on conçoit une exposition, chaque page dialoguant avec la suivante à travers des détails minutieusement choisis pour modifier notre perception à chaque lecture. Trois auteurs se sont prêtés au jeu de l’écriture avec des regards différents sur le travail de Pocreau le rendant vaste et intrigant.
C’est suite à une résidence artistique à l’Observatoire du Mont-Mégantic, que l’artiste est profondément transformé dans son rapport à l’art et par le fait même au monde. Son attitude de chercheur laisse alors une place à l’indéfinissable et à l’impermanence à travers la beauté de l’image.
« Alors que je m’étais préparé longuement à un rendez-vous avec la science, devant ces nuits splendides passées à l’observatoire, je me suis fait prendre par surprise. Même si des questions très spécifiques sur la lumière m’habitaient, j’ai réalisé, au sommet de la montagne, que ma réelle posture était celle de l’émerveillement, empreint de vertiges cosmiques, du grand sentiment océanique. »
C’est suite à une résidence artistique à l’Observatoire du Mont-Mégantic, que l’artiste est profondément transformé dans son rapport à l’art et par le fait même au monde. Son attitude de chercheur laisse alors une place à l’indéfinissable et à l’impermanence à travers la beauté de l’image.
« Alors que je m’étais préparé longuement à un rendez-vous avec la science, devant ces nuits splendides passées à l’observatoire, je me suis fait prendre par surprise. Même si des questions très spécifiques sur la lumière m’habitaient, j’ai réalisé, au sommet de la montagne, que ma réelle posture était celle de l’émerveillement, empreint de vertiges cosmiques, du grand sentiment océanique. »