Crédit photo : David Arseneau

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David Arseneau

Walker Road and the Creature From Hell

EXPOSITION /
1er avril au 1er mai 2021

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OUVERTURE DE L'EXPOSITION
SUR RÉSERVATION /
JEUDI 1ER AVRIL, 18H À 21H
- 20 PERSONNES MAX / HEURE - 
(LIEN POUR RÉSERVER CI-DESSOUS)

Une innocente visite dans une petite ville s’avère mortelle quand Bill et Nancy tombent de façon inattendue sur un mystérieux champ de force dans les bois près de Walker Road. Un démon extra-terrestre assoiffé de sang sort du cou de Bill, attaque Nancy et transfère sa force vitale dans son cerveau où il devra se nourrir de nouvelles victimes pour continuer à croître et à muter en une créature humaine parfaitement formée. Nancy se lie d’amitié avec Susie, une jeune femme pleine d’esprit, et commence rapidement à tuer ses ami.e.s et les résident.e.s de la ville de façon inexplicable. Susie peut-elle faire cesser l’horreur ? Deviendra-t-elle la prochaine victime à être consommée par la créature de l’enfer…

Walker Road and the Creature from Hell est un film d’horreur de 90 minutes sans images en mouvement qui comprend des dialogues, des bruitages, des effets sonores et une trame musicale. L'œuvre est fortement influencée par l’attitude et l’esprit d’indépendance de la culture vidéo.

Recluse par nature, la production artistique de David Arseneau vise à honorer l’obsessionnel processus de création afin de s’évader vers de nouvelles idées et fantasmes à propos du monde, ou encore de se retirer du monde extérieur pour créer de nouvelles réalités à travers la fiction. Depuis 2013, il réalise des trames sonores pour des films d’horreur imaginaires qu’il diffuse sur cassette en édition très limitée. Walker Road and the Creature from Hell est sa dix-huitième trame sonore, mais la première à avoir un fil narratif implicite qui émerge de l’inclusion de dialogues et de bruitage sonore; il s’agit littéralement d’un film d’horreur sans images.


BIO

David Arseneau vit et travaille à Sackville au Nouveau-Brunswick. Il travaille en peinture, souvent avec le genre de l’horreur, en combinant un intérêt obsessionnel pour les pratiques de l’art brut et les artistes amateurs ou folkloriques. Recluse par nature, sa production artistique vise à honorer l’obsessionnel processus de création afin de s’évader vers de nouvelles idées et fantasmes à propos du monde, ou encore de se retirer du monde extérieur pour créer de nouvelles réalités à travers la fiction. Depuis 2013, il réalise des trames sonores pour des films d’horreur imaginaires qu’il diffuse sur cassette en édition très limitée. Walker Road and the Creature from Hell est sa dix-huitième trame sonore, mais la première à avoir un fil narratif implicite qui émerge de l’inclusion de dialogues et de bruitage sonore; tous les sons, y compris les voix, ont été réalisés par l’artiste (à l’exception d’un extrait du film The Last Man on Earth (1964) et de l’émission de télévision Tales of Tomorrow (1952). Il s’agit littéralement d’un film d’horreur sans images.